Alors que je demandais à Sir Stephen de me dévoiler un album photo afin d'assouvir cette soif de découverte, ce dernier me posa quelques questions qui sous un air désuètes (je suis relativement naïve) étaient, je m'en rendis compte un peu plus tard; bien ciblées. Ainsi Mon Maître me fit découvrir certain aspects de mes désirs et commença; avec  mon accord un peu effrayée tout de même, à me soumettre à lui.

Ce ne fut pas simple. Je suis aussi docile que rebelle. j'ai besoin de comprendre pour accepter.

Sir Stephen; je pense(même si je n'y suis guère encouragée) à eu un peu de mal à m'apprivoiser. Bien souvent je fus choquée de ces demandes, et refusais avec colère( modérée).Pourtant je le voulais ce Maître; j'avais tellement envie qu'il me prenne de la façon dont il me parlait j'avais peur et envie et l'envie croissait plus que la peur. Mais à force de patience et de bienveillants compromis; je fus enfin récompensée...

Mon Maître tant désiré me rendit visite le 25 de ce moi de février .

"Bien sur Maître que je me souvient....

De l'inquiétude mélangée au désire qui m'habitait. De l'attente fébrile de m'agenouiller pour vous. De l'envie de vous plaire. De devenir celle que j'aspirais à être sans le savoir vraiment.

Vous êtes entré.vous m'avez regardé, j'ai pu enfin vous embrasser,il pleuvait vous étiez trempé, un café vous à réchauffé.

Vous m'avez agenouillé et je vous ai saluée comme une soumise ce doit de le faire, oui je devais avoir l'air bien mal adroite a vous sucer la queue, vous êtes sans doute habitué au top....mais je vous ai sucé et vous avez enfoncé votre queue tout au fond de ma gorge aussi loin que vous pouviez, j'ai bien crue que j'allais étouffer ou vomir voir les deux!...

Ensuite vous m'avez baisé comme personne ne l'avait fait avant et pourtant sous des abords posés je ne suis pas une oie blanche.

Oui j'ai aimée que vous m'attachiez, que vous me bandiez les yeux que vous m'enculiez oui j'ai aimé être à  votre merci quoi que vous souhaitiez faire de moi et oui vous n'étiez pas partit que je souhaitait encore que vous me baisiez. Parce que vous m'avez soumise à vous Maître je suis votre objet et j'aime cela .

Le temps m'a semblé une éternité par la suite. L'abstinence que vous m'imposiez insupportable j'ai toujours été bien servi sexuellement..."

Pas autant qu'avec mon Maître; j'entend que je faisais facilement l'amour trois fois par jour voir plus si j'étais en couple, et que si ce n'était le cas j'avais toujours un très beau jeune homme pour me servir (je ne les choisi pas jeunes ils le sont je n'y suis pour rien!)....

Le temps m'a semblé si long, que je me suis mise à désobéir à me rebeller, me sentir abandonnée même... je voulais temps que Mon Maître assouvisse encore ces envies de mon corps.

Nos échanges bien que par mails textos ou appels ce firent distants.

Puis il m'a punis, comme si je ne l'était pas encore suffisamment par son absence.

l'injonction était simple. la nuit suivante  je devais dormir nue au sol je saurais plus tard si une couverture m'était autorisée.

Bien sure je pouvais très bien ne pas le faire! qui irait vérifier?...

Mais je ressenti un vide qui me remplit toute entière.

Sir Stephen de me donnant pas plus de directive, le soir venue je me couchais au sol avec toute fois une couverture.

le vide s'amplifiait...Mon Maître était fâché au point de ne pas même préciser avec ou sans couverture....

je me senti cette nuit comme un animal une femelle abandonnée.

Sir Stephen a toujours été un bon Maître à l'écoute de la soumise que je suis pour lui. Mais je ne m'en rendis compte que plus tard.

1er avril 2009.

J'informe par sms Sir Stephen que j'ai bien accomplie ma punition.

La réponse fut celle ci ( de mémoire ancrée en moi)

"-Ma soumise ma réponse est sans appel. Je te libère... au pire moment."

Je vous assure que j'ai pleurée. en y pensant les larmes me viennent encore.

Je demande alors à Sir Stephen si mon comportement est en cause.

Sir Stephen:"-Tu n'y es pour rien. J'arrête définitivement."

Je demandais toutefois très inquiète pour et à celui que j'ai toujours appelé Mon Maître, si je pouvais faire quelque chose pour lui?

Sir Stephen:"- efface mon numéro de tes tablettes c'est la seule chose que tu puisse faire pour moi. tu feras une très bonne soumise."

N'étant pas prête  à faire mon deuil je gardais le numéro...( de toutes les façons je gardes toujours les numéros. afin de savoir qui m'appel, si je répond ou pas!...).

Un ami proche qui avait dans une autre vie été dominateur me soutint dans cette épreuve (un ami sans arrière pensées).

Je m'en voulu. et j'en voulu à Sir Stephen de penser que je pourrais oublier qui était MON MAÎTRE .je ne l'oubliais pas. Cependant je ne le contacta pas.

Jusqu'à ce soir du 20/10/10, 23h50 environ ...